Une simple montre, un énorme débat. La Première Dame du Burundi, Angeline Ndayishimiye, se retrouve au cœur d’une polémique après l’apparition d’une photo où elle arbore une montre Rolex estimée à 27.540€ (environ 30.000$).
L’image, largement partagée sur les réseaux sociaux, suscite de vives réactions et divise l’opinion publique.
D’un côté, certains estiment qu’il s’agit d’un choix personnel, et que le statut d’une Première Dame justifie un certain standing. De l’autre, cette luxueuse acquisition choque une partie de la population, notamment dans un pays où le niveau de vie reste un sujet sensible.
Le Burundi, classé parmi les pays les plus pauvres du monde, fait face à de nombreux défis socio-économiques. Ainsi, la montre de luxe de l’épouse du président Évariste Ndayishimiye alimente le débat sur l’exemplarité des dirigeants et l’écart entre l’élite politique et la population.
Jusqu’à présent, ni la Première Dame ni la présidence n’ont réagi à cette controverse. Mais une chose est sûre : la montre Rolex n’a pas fini de faire parler d’elle.
MM