Le scandale sexuel impliquant Balthazar Ebang Engonga prend une nouvelle tournure en Guinée Équatoriale. Incarcéré après la découverte de centaines de vidéos le montrant dans des ébats avec de nombreuses partenaires, le haut fonctionnaire fait désormais l’objet de tests médicaux approfondis.
D’après plusieurs sources concordantes, le gouvernement a ordonné une prise de sang sur le mis en cause. L’objectif est de vérifier s’il n’est atteint d’aucune maladie infectieuse, comme le VIH ou l’hépatite.
Ces analyses s’expliquent par l’ampleur des agissements reprochés à Balthazar Ebang Engonga. Ses frasques à répétition avec des partenaires multiples sur une longue période auraient pu l’exposer à des infections.
Leur révélation mettrait également en danger la santé de certaines femmes qu’il a pu contaminer. Leurs conjoints seraient aussi concernés.
Ces tests viennent alourdir le dossier déjà lourd du fonctionnaire. Au-delà des aspects judiciaires et moraux, cette affaire met en lumière les enjeux de santé publique qu’elle soulève.
Walim. M